Ballet du Théâtre Bolchoï

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 04 Марта 2015 в 16:18, реферат

Описание работы

Le Ballet du Théâtre Bolchoï présente Illusions perdues, une création d’Alexei Ratmansky d’après le roman de Balzac. Le langage néoclassique du chorégraphe s’illustre dans un ballet narratif au parfum français. Une grande histoire d’amours contrariées, d’ambitions et de désenchantements où les danseurs dévoilent leurs talents et le chorégraphe une autre facette de son travail.

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La démission des deux premiers de ces trois directeurs oblige à chaque fois à la mise en place d'une direction collective de transition, dans laquelle figure notamment le président du Conseil d'administration de l'Opéra et des représentants du Ministère de la culture. Le directeur alors nommé, manquant de temps pour préparer sa programmation, se trouve ainsi en mauvaise posture pour diriger la maison, ce qui contribue à entretenir l'instabilité.

Dans le domaine de la danse, la période est marquée par la présence comme directeur de la danse du danseur russe Rudolf Noureev entre 1983 et 1989, période qui marque le Ballet de l'Opéra jusqu'à aujourd'hui. La période est marquée par de nombreuses polémiques, notamment avec les danseurs : ceux-ci n'acceptent de danser la version Noureev du Lac des cygnes qu'à condition que la version précédente soit conservée au répertoire ; les danseurs étoiles de l'Opéra se plaignent de la place que s'octroie le directeur dans les distributions. Noureev, qui avait déjà travaillé pour l'Opéra, met en place pendant cette période les bases d'un répertoire classique qui est encore aujourd'hui l'essentiel du répertoire de la maison. Sa démission en 1989 est due à une polémique avec la direction en raison de la place jugée trop importante des engagements de Noureev à l'étranger ; il continue néanmoins à rester chorégraphe principal du ballet. C'est à ce titre qu'il réalise sa dernière création, une version de La Bayadère : déjà gravement malade, il ne survit que quelques mois à la première le 8 octobre 1992. La période Noureev ne se limite cependant pas au répertoire classique : un autre événement majeur est la création, en 1987, de In the Middle, Somewhat Elevated du jeune chorégraphe américain William Forsythe.

La perspective qui pèse sur l'essentiel de la période est la décision du président François Mitterrand de construire un nouvel opéra, qui deviendra l'Opéra Bastille. Cette décision très contestée et dont les conséquences précises pour l'établissement restent longtemps floues est notamment justifiée par la jauge trop réduite de l'Opéra Garnier, qui oblige l'établissement à investir d'autres salles, notamment l'Opéra-Comique, qui lui est rattaché jusqu'en 1990, mais aussi le théâtre des Champs-Elysées ou le Palais des congrès, ce qui entraîne des coûts considérables de fonctionnement.

Pierre Bergé (1988-1994) : l'Opéra-Bastille

La victoire de la gauche aux élections de 1988 conduit à la tête de l'Opéra un ami du président réélu, Pierre Bergé, qui va diriger de facto l'Opéra à partir de sa position de président de son conseil d'administration, tout en laissant les tâches administratives à une direction à géométrie variable. Il organise notamment les cérémonies d'ouverture du nouvel Opéra de la place de la Bastille, tout en préparant la fermeture pour travaux de l'Opéra Garnier (1993-1996). Sa programmation fastueuse, qui donne aux metteurs en scène des moyens inédits pour réaliser leurs idées, souffre rapidement des déficiences techniques du nouvel outil et d'un nombre de représentations insuffisant. La décision de consacrer l'Opéra Garnier de manière presque exclusive à la danse, tandis que presque tout le répertoire lyrique est joué à Bastille, pose également des problèmes d'identité importants dans les deux maisons.

Le 16 juillet 1992, lors d'une tournée de l'Opéra à Séville, un élément de décor tombe sur plusieurs choristes, faisant un mort et de nombreux blessés. Cet incident provoque une crise interne grave dans la direction de l'Opéra, qui voit plusieurs responsables de premier plan quitter la maison et la position de Pierre Bergé profondément entamée.

Les élections de 1993, favorables cette fois à la droite, et le nécessaire changement de statut de l'Opéra amènent le départ de Pierre Bergé, qui reste président d'honneur. Décidé en novembre 1993 et effectif au 3 février 1994, ce départ amène la nomination de Jean-Paul Cluzel comme président par intérim et celle d'Hugues Gall comme directeur délégué, chargé de préparer son arrivée au poste de directeur prévu à compter d'août 1995.

Pendant cette période de transition, un décret du 5 février 1994 fixe les nouveaux statuts de l'établissement, qui prend son nom actuel d'Opéra National de Paris.

Hugues Gall (1995-2004) : les réformes

C'est au directeur du Grand Théâtre de Genève, ancien collaborateur de Rolf Liebermann à l'Opéra, qu'est confiée en 1993 la mission de réformer l'Opéra pour en stabiliser le fonctionnement. Après avoir réalisé un rapport d'information où il pointait les dysfonctionnements de la période précédente, en particulier la mauvaise utilisation de l'Opéra-Bastille, qui limitait fortement les possibilités d'alternance, celui-ci pose plusieurs conditions pour accepter le poste : il obtient ainsi l'assurance d'une augmentation de 3 % de la subvention publique pendant chaque année de son mandat et fixe la date de son entrée en fonction au début de la saison 1995/1996, laissant la gestion de l'Opéra pour les saisons 1993/1994 et 1994/1995 à une nouvelle direction provisoire. Un incident très médiatisé est le renvoi du directeur musical choisi par Pierre Bergé, le Coréen Myung-Whun Chung, accusé par Hugues Gall de mal connaître le répertoire lyrique et de demander des émoluments trop élevés. À sa place, Hugues Gall choisit le chef américain James Conlon, peu connu du grand public bien qu'ayant souvent dirigé à l'Opéra dans les années 1980.

Son mandat vise entièrement à constituer un répertoire viable de productions solides susceptibles d'être régulièrement reprises. Il s'appuie pour cela sur un nombre limité de metteurs en scène d'expérience comme Francesca Zambello, Robert Carsen ou Andrei Serban, au risque de se voir parfois accuser de préférer une production industrielle de spectacles sans âme à la prise de risque artistique.

Son mandat est également marqué par des grèves répétées, en particulier en novembre-décembre 2000. Ces grèves sont dues notamment aux réformes de Hugues Gall en ce qui concerne le statut des personnels, destinées à mettre fin à certaines lourdeurs administratives héritées du passé et perçues par une partie du personnel comme une atteinte à leurs droits sociaux. Dans le livre-souvenir publié en 2004 à la fin de son mandat, Gall accuse les syndicats de l'établissement, qu'il présente comme la principale source de difficultés de son mandat, d'être restés staliniens.

Parmi les principales réussites artistiques de son mandat figurent notamment la nouvelle production de Nabucco de Verdi donnée en ouverture de sa première saison (mise en scène Robert Carsen, avec Julia Varady, Samuel Ramey, Violeta Urmana, Jean-Philippe Lafont et José Cura), une nouvelle production d’Alcina de Haendel en 1999 (mise en scène Robert Carsen, avec Renée Fleming, Natalie Dessay et Susan Graham) ou celle de Platée de Rameau (mise en scène Laurent Pelly). Quelques échecs marquants jalonnent aussi son mandat, comme celui du Tristan und Isolde de Wagner mis en scène par Stein Winge, de l’Idomeneo de Mozart mis en scène par le chef d'orchestre Ivan Fischer ou la création mondiale de L'espace dernier de Matthias Pintscher. La critique très négative parue dans Le Monde sur Idomeneo suscite une vive réaction d'Hugues Gall, qui accuse le journal de s'en prendre systématiquement à l'Opéra et décide de ne plus faire de publicité dans ce journal.

Nommé initialement pour un mandat de 6 ans à compter d'août 1995, Hugues Gall est maintenu en fonction pour trois ans supplémentaires, soit jusqu'en août 2004 (de façon dérogatoire au statut d'EPIC de l'Opéra, qui impose une limite d'âge de 65 ans pour les directeurs, âge atteint par Hugues Gall en mars). Pour lui succéder, l'État nomme un autre ancien collaborateur de Rolf Liebermann, le Belge Gerard Mortier, pour lui succéder à compter de la saison 2004/20052. Août 2004 marque aussi la fin du mandat du directeur musical James Conlon.

Gérard Mortier (2004-2009) : la rupture

Revendiquant une rupture forte avec son prédécesseur, Gerard Mortier axe sa politique sur les principes suivants :

  • il augmente le nombre de nouvelles productions par rapport à Hugues Gall, de 7 ou 8 à 9 ou 10 par saison ;
  • voulant faire découvrir certaines des productions produites dans les institutions qu'il a précédemment dirigées, il importe un nombre important de telles productions, notamment au début de son mandat ;
  • il renonce au poste de directeur musical, affirmant s'appuyer sur un ensemble de 7 chefs permanents (dont Valery Gergiev, Christoph von Dohnanyi, Esa-Pekka Salonen et Sylvain Cambreling qui ne fonctionnera en réalité qu'une ou deux saisons.
  • il augmente sensiblement la proportion des œuvres du XXe siècle dans sa programmation, tout en continuant la politique de créations de son prédécesseur (Melancholia de Georg Friedrich Haas en 2008, Yvonne, princesse de Bourgogne, de Philippe Boesmans en 2009).

Parmi les metteurs en scène les plus marquants de ces années figurent notamment des metteurs en scène novateurs qui suscitent une vive opposition d'une partie du public :

  • Christoph Marthaler : Wozzeck, Katia Kabanova, Le Nozze di Figaro, La traviata ;
  • Krzysztof Warlikowski : Iphigénie en Tauride, Parsifal, Le roi Roger ;
  • Michael Haneke : Don Giovanni ;
  • Johan Simons : Simon Boccanegra, Fidelio ;
  • La Fura dels Baus : La Flûte enchantée.

D'autres metteurs en scène aux conceptions plus traditionnelles figurent aussi au programme de l'Opéra pendant cette période, comme Laurent Pelly, Gilbert Deflo ou André Engel.

Nommé à l'origine pour un mandat de 4 ans en raison du statut des EPIC, qui lui interdisent de rester directeur au-delà de ses 65 ans (novembre 2008), il est maintenu en poste par dérogation une saison supplémentaire, comme l'avait été Hugues Gall, en particulier en raison du retard pris par le ministère de la Culture pour nommer son successeur.

Nicolas Joel (depuis 2009)

En décembre 20063, c'est Nicolas Joel, directeur du Capitole de Toulouse depuis 1990 et metteur en scène, qui est nommé directeur délégué de l'Opéra4 et chargé de préparer les saisons de l'Opéra de Paris à compter de la saison 2009/20105. Il choisit de conserver à ses côtés la directrice de la danse Brigitte Lefèvre. Il nomme en revanche Philippe Jordan directeur musical et Patrick Marie Aubert chef du chœur.

Nicolas Joel choisit d'ouvrir sa première saison par Mireille de Charles Gounod, marquant ainsi son attachement au répertoire français. Il en assure également la mise en scène6. La saison 2010-2011 est marquée par l'absence du répertoire français tandis que celle de 2011/2012 n'affiche aucune rareté significative. Plusieurs nouvelles productions de l'ère Joel sont marquées par des critiques très négatives, voire une contestation de la part d'une partie du public  : c'est le cas notamment pour Faust de Gounod mis en scène par Jean-Louis Martinelli, Manon de Massenet par Coline Serreau, marquée en outre par une mésentente entre la soprano Natalie Dessay et la metteuse en scène, et Carmen de Bizet par Yves Beaunesne7. La saison 2012/2013 ne comporte que deux nouvelles productions.

Le 8 octobre 2012, la ministre de la culture Aurélie Filipetti, qui avait précédemment annoncé ne pas vouloir prolonger le mandat de Nicolas Joel, nomme Stéphane Lissner directeur délégué de l'Opéra de Paris. Il est donc le successeur désigné de Nicolas Joel, chargé de la programmation à compter du début de la saison 2015/2016. Cette nomination fait suite à une intense campagne de Joel pour obtenir sa reconduction, précédée de son retrait in extremis sous prétexte de coupes budgétaires8. Son retrait est cependant anticipé : la presse annonce le 10 septembre 2013 que la passation de pouvoir aura lieu à la fin de la saison 2013/2014, Stéphane Lissner pouvant à cette date quitter la direction de la Scala.

L'arrivée de Lissner coïncide ainsi avec celle du nouveau directeur de la danse, le chorégraphe Benjamin Millepied, qui succède à Brigitte Lefèvre. Tous deux devront cependant exécuter une première saison programmée par leurs prédécesseurs. Stéphane Lissner choisit en revanche de maintenir Philippe Jordan à son poste.

Dénominations officielles successives

  • 28 juin 1669. — Académie d’opéra
  • 13 mars 1672. — Académie royale de musique
  • 24 juin 1791. — Opéra
  • 29 juin 1791. — Académie de musique
  • 17 septembre 1791. — Académie royale de musique
  • 15 août 1792. — Académie de musique
  • 12 août 1793. — Opéra
  • 18 octobre 1793 (27 vendémiaire an II). — Opéra national
  • 7 août 1794 (20 thermidor an II). — Théâtre des Arts
  • 2 février 1797 (14 pluviose an V). — Théâtre de la République et des Arts
  • 24 août 1802 (6 fructidor an X). — Théâtre de l’Opéra
  • 29 juin 1804. — Académie impériale de musique
  • 3 avril 1814. — Académie de musique
  • 5 avril 1814. — Académie royale de musique
  • 21 mars 1815. — Académie impériale de musique
  • 9 juillet 1815. — Académie royale de musique
  • 4 août 1830. — Théâtre de l’Opéra
  • 10 août 1830. — Académie royale de musique
  • 26 février 1848. — Théâtre de la Nation
  • 29 mars 1848. — Opéra. Théâtre de la Nation
  • 2 septembre 1850. — Académie nationale de musique
  • 2 décembre 1852. — Académie impériale de musique
  • 1er juillet 1854. — Théâtre impérial de l’Opéra. — (fermé le 2 septembre 1870)
  • 12 juillet 1871. — Théâtre national de l’Opéra
  • 1978. — Théâtre national de l’Opéra de Paris
  • 1989. Association des théâtres de l’Opéra de Paris
  • 1990. — Opéra de Paris
  • 1994. — Opéra national de Paris

Les quinze salles de l'Opéra de Paris

La tradition retient quinze salles distinctes utilisées par l'Opéra de Paris pour ses spectacles. Cette liste ne comprend que les salles ordinaires du théâtre, abstraction faite de celles qui ont pu être utilisées pour des représentations à l'extérieur. L'Académie royale de musique changera treize fois de lieux de représentations au cours du XVIIIe siècle, jusqu'à sa transformation, à la Révolution, en « Théâtre des Arts », avant de prendre le nom actuel d'Opéra national de Paris. En 1875, l'institution occupe le Palais Garnier puis en 1990 l'Opéra-Bastille.

 

 

 

Nom de l'institution

Nom de la salle

Dates

Emplacement

Historique

Salle d'Issy

1659

Issy-les-Moulineaux

Démolie.

Académie d'opéra

Salle de la Bouteille

1671-1672

Rue Mazarine

Démolie.

Académie royale de musique

Salle du Bel-Air

1672-1673

Rue de Vaugirard

Démolie.

Académie royale de musique

Première salle du Palais-Royal

1673-1763

Palais-Royal

Détruite par un incendie le 6 avril 1763

Académie royale de musique

Salle des Machines

1764-1770

Palais des Tuileries

Construite en 1662 mais remaniée à plusieurs reprises. 
Démolie avec le palais en 1873.

Académie royale de musique

Deuxième salle du Palais-Royal

1770-1781

Palais-Royal

Inaugurée le 26 janvier 1770. Détruite par un incendie le 8 juin 1781

Académie royale de musique

Salle des Menus-Plaisirs

1781

Rue Bergère

Démolie.

Académie royale de musique (1781) 
Théâtre de l'Opéra (1791) 
Théâtre des Arts (1793)

Salle de la Porte-Saint-Martin

1781-1794

Boulevard Saint-Martin

Construite en 75 jours en 1781. Ouverture le 27 octobre 1781. 
Détruite par un incendie en 1871 (Commune de Paris) 
et reconstruite sur place.

Théâtre des Arts (1794) 
Théâtre de la République des Arts (1797) 
Théâtre de l'Opéra (1802) 
Académie royale de musique (1814) 
Académie impériale de musique (1815) 
Académie royale de musique (1815)

Théâtre-National

1794-1820

Rue de Richelieu 
(jusqu'en 1815 
Rue de la Loi, 
aujourd'hui 
Square Louvois)

Construite en 1793. Détruite sur ordre des autorités.

Académie royale de musique

Théâtre Louvois

1820

Rue Louvois

Construite en 1791. Fermée en 1825, démolie en 18999.

Académie royale de musique

Salle Favart

1820-1821

Place Boieldieu

Construite en 1783. Détruite en 1839 par un incendie 
et reconstruite sur place.

Académie royale de musique (1821) 
Opéra-Théâtre de la Nation (1848) 
Académie nationale de musique (1850) 
Académie impériale de musique (1851) 
Théâtre impérial de l'Opéra (1854) 
Théâtre national de l'Opéra (1871)

Salle Le Peletier

1821-1873

Rue Le Peletier et 
Grange-Batelière

Construite en 1821-1821 (1800 places) 
Détruite par un incendie dans la nuit 28/29 octobre 1873.

Théâtre national de l'Opéra

Salle Ventadour

1874

Rue Méhul

Construite de 1826 à 1829. Fermée en 1879 
et transformée en banque.

Théâtre national de l'Opéra (1875) 
Théâtre national de l'Opéra de Paris (1978)

Opéra Garnier

depuis 1875

Place de l'Opéra

29 septembre 1860 : déclaration d'utilité publique 
29 décembre 1860 : ouverture du concours d'architecture 
29 mai 1861 : Charles Garnier, vainqueur (1/171) 
5 janvier 1875 : inauguration 
8 janvier 1875 : première représentation ouverte au public, 
La Juive de Jacques Fromental Halévy.

Association des Théâtres de l'Opéra de Paris (1989) 
Opéra de Paris (1990) 
Opéra national de Paris (1994)

Opéra Garnier

Place de l'Opéra

1993-1996 : Fermeture pour travaux

Opéra Bastille

depuis 1990

Place de la Bastille

1982 : décision du président François Mitterrand 
1983 : lancement du concours 
10 novembre 1984 : Carlos Ott vainqueur du concours ; début des travaux 
13 juillet 1989 : inauguration 
17 mars 1990 : première représentation publique, 
Les Troyens d'Hector Berlioz


 

 

 

Emplacement de la salle du Jeu de paume de la Bouteille (Académie d'opéra 1671-1672)

Le Jeu de Paume de Bel-Air (Académie royale de musique 1672-1673)

Deuxième salle du Palais-Royal (Académie royale de musique 1770-1781)

Incendie de la deuxième salle du Palais-Royal (1781)

Théâtre de la Porte-Saint-Martin vers 1790 (Académie royale de musique)

Grande salle du Théâtre des Arts de la Rue de Richelieu (vers 1794)

Théâtre de l'Opéra de la Rue de Richelieu (1794-1820)

Salle Favart en 1820 (Académie royale de musique), par Christophe Civeton

Salle Le Peletier vers 1865 (Théâtre impérial de l'Opéra)

Incendie de la Salle Le Peletier en 1873

La Salle Ventadour (v. 1830) qui accueillit le Théâtre national de l'Opéra en 1874 dans l'attente de la construction de Garnier

Opéra Garnier en 1875 (Théâtre national de l'Opéra)

Opéra Garnier en 2009 (Opéra national de Paris)

opéra Bastille en 2011 (Opéra national de Paris)

Opéra de Paris en 2011

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Les administrateurs, directeurs musicaux et directeurs de la danse

 

Nom de l'institution

Années

Administrateurs

Directeurs musicaux

Directeurs de la danse

Académie d'opéra

1669

Pierre Perrin

Robert Cambert

Pierre Beauchamp

Académie royale de musique

1672

Jean-Baptiste Lully

Jean-François de Lallouette et Pascal Colasse

 

1687

Jean-Nicolas de Francine

 

Louis Pécour

1698

Jean-Nicolas de Francine et Hyacinthe de Gaureault

   

1704

Pierre Guyenet

   

1712

Jean-Nicolas de Francine et Dumont

   

1728

André-Cardinal Destouches

   

1729

   

Michel Blondy

1730

Maximilien-Claude Gruer

   

1731

Claude Lecomte

   

1733

Eugène de Thuret

   

1739

   

Antoine Bandieri de Laval

1744

François Berger

   

1748

Joseph Guénot de Tréfontaine

 

Jean-Barthélemy Lany

1749

Ville de Paris

 

(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1752)

1753

François Rebel et François Francœur

   

1754

Joseph Nicolas Pancrace Royer

 

(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1754)

1755

Louis Dominique Bontemps et Levasseur

 

(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1755)

1757

François Rebel et François Francœur

   

1767

Pierre Montan Berton et Jean-Claude Trial

   

1769

Antoine Dauvergne et Nicolas-René Joliveau

   

1770

   

Gaëtan Vestris

1773

François Rebel

   

1775

Pierre Montan Berton

   

1776

   

Jean-Georges Noverre

1777

Anne-Pierre-Jacques Devismes

   

1780

Pierre Montan Berton 
Antoine Dauvergne et François-Joseph Gossec

   

1781

   

Gardel et Dauberval 
(voir aussi : Troupe de l'Opéra en 1785)

1787

Comité gestionnaire

 

Pierre Gardel

1790

Commissaire de la Ville

   

Théâtre de l'Opéra

1791

     

1792

Francœur et Jacques Cellerier

   

Théâtre des Arts

1793

     

1796

Évariste de Parny

   

Théâtre de la République et des Arts

1797

Commissaire de la Ville

   

1799

Anne-Pierre-Jacques Devismes et 
Joseph Balthazar Bonet de Treyches

   

1800

Anne-Pierre-Jacques Devismes

   

1801

Jacques Cellerier

   

Théâtre de l'Opéra

1802

Étienne Morel de Chédeville

   

Académie impériale de musique

1804

     

1807

Louis-Benoît Picard

   

Académie royale de musique

1814

     

Académie impériale de musique

1815

     

Académie royale de musique

1816

Alexandre-Étienne Choron

   

1817

Louis-Luc Loiseau de Persuis

   

1819

Giovanni Battista Viotti

   

1820

   

Jean-Pierre Aumer

1821

François-Antoine Habeneck

   

1824

Raphaël de Frédot Duplantys

   

1827

Émile-Timothée Lubbert

   

1831

Louis Véron

 

Jean Coralli

1835

Henri Duponchel

   

1839

Henri Duponchel et Édouard Monnais

   

1841

Henri Duponchel et Léon Pillet

   

1847

Henri Duponchel et Nestor Roqueplan

   

Théâtre de la Nation

1848

     

Opéra-Théâtre de la Nation

1849

Nestor Roqueplan

   

Académie nationale de musique

1850

   

Arthur Saint-Léon

Académie impériale de musique

1851

     

1852

   

Joseph Mazilier

Théâtre impérial de l'Opéra

1854

François-Louis Crosnier

   

1856

Alphonse Royer

   

1860

   

Lucien Petipa

1862

Émile Perrin

   

1868

   

Henri Justamant

1869

   

Louis Mérante

1870

Société des Artistes

   

Théâtre national de l'Opéra

1871

Olivier Halanzier

   

1879

Auguste-Emmanuel Vaucorbeil

   

1884

Ritt

   

1888

   

Joseph Hansen

1892

Eugène Bertrand

   

1893

Eugène Bertrand et Pierre Gailhard

   

1908

André Messager et Leimistin Broussan

 

Léo Staats

1911

   

Ivan Clustine

1915

Jacques Rouché

   

1919

   

Léo Staats

Réunion des théâtres lyriques nationaux (RTLN) 
(Théâtre national de l'Opéra (Palais Garnier) 
et théâtre national de l'Opéra-Comique (Salle Favart))

1939

   

Serge Lifar

1945

Maurice Lehmann, administrateur de la RTLN 
Reynaldo Hahn, directeur du 
Théâtre national de l'Opéra

   

1946

Georges Hirsch

   

1951

Maurice Lehmann

   

1955

Jacques Ibert

   

1956

Georges Hirsch

   

1958

   

George Skibine

1959

A.-M. Julien

 

Gérard Mulys

1962

Georges Auric

 

Michel Descombey

1968

André Chabaud

   

1969

René Nicoly

 

John Taras

1970

   

Claude Bessy

1971

Jean-Yves Daniel-Lesur et Bernard Lefort

 

Raymond Franchetti

1973

Rolf Liebermann et Gérard Mulys

   

1977

   

Violette Verdy

Théâtre national de l'Opéra de Paris

1978

     

1980

Bernard Lefort

 

Rosella Hightower

1983

Massimo Bogianckino

 

Rudolf Noureev

1986

Jean-Louis Martinoty

Lothar Zagrosek

 

Association des Théâtres de l'Opéra de Paris

1989

Georges-François Hirsch

 

Patrick Dupond

Opéra de Paris

1990

     

1991

Philippe Bélaval

   

1992

Jean-Paul Cluzel

   

Opéra national de Paris

1994

     

1995

Hugues Gall

James Conlon

Brigitte Lefèvre

2004

Gerard Mortier

Pas de directeur musical

 

2009

Nicolas Joel

Philippe Jordan

 

Информация о работе Ballet du Théâtre Bolchoï