Автор работы: Пользователь скрыл имя, 04 Марта 2015 в 16:18, реферат
Le Ballet du Théâtre Bolchoï présente Illusions perdues, une création d’Alexei Ratmansky d’après le roman de Balzac. Le langage néoclassique du chorégraphe s’illustre dans un ballet narratif au parfum français. Une grande histoire d’amours contrariées, d’ambitions et de désenchantements où les danseurs dévoilent leurs talents et le chorégraphe une autre facette de son travail.
La démission des deux premiers de ces trois directeurs oblige à chaque fois à la mise en place d'une direction collective de transition, dans laquelle figure notamment le président du Conseil d'administration de l'Opéra et des représentants du Ministère de la culture. Le directeur alors nommé, manquant de temps pour préparer sa programmation, se trouve ainsi en mauvaise posture pour diriger la maison, ce qui contribue à entretenir l'instabilité.
Dans le domaine de la danse, la période est marquée par la présence comme directeur de la danse du danseur russe Rudolf Noureev entre 1983 et 1989, période qui marque le Ballet de l'Opéra jusqu'à aujourd'hui. La période est marquée par de nombreuses polémiques, notamment avec les danseurs : ceux-ci n'acceptent de danser la version Noureev du Lac des cygnes qu'à condition que la version précédente soit conservée au répertoire ; les danseurs étoiles de l'Opéra se plaignent de la place que s'octroie le directeur dans les distributions. Noureev, qui avait déjà travaillé pour l'Opéra, met en place pendant cette période les bases d'un répertoire classique qui est encore aujourd'hui l'essentiel du répertoire de la maison. Sa démission en 1989 est due à une polémique avec la direction en raison de la place jugée trop importante des engagements de Noureev à l'étranger ; il continue néanmoins à rester chorégraphe principal du ballet. C'est à ce titre qu'il réalise sa dernière création, une version de La Bayadère : déjà gravement malade, il ne survit que quelques mois à la première le 8 octobre 1992. La période Noureev ne se limite cependant pas au répertoire classique : un autre événement majeur est la création, en 1987, de In the Middle, Somewhat Elevated du jeune chorégraphe américain William Forsythe.
La perspective qui pèse sur l'essentiel de la période est la décision du président François Mitterrand de construire un nouvel opéra, qui deviendra l'Opéra Bastille. Cette décision très contestée et dont les conséquences précises pour l'établissement restent longtemps floues est notamment justifiée par la jauge trop réduite de l'Opéra Garnier, qui oblige l'établissement à investir d'autres salles, notamment l'Opéra-Comique, qui lui est rattaché jusqu'en 1990, mais aussi le théâtre des Champs-Elysées ou le Palais des congrès, ce qui entraîne des coûts considérables de fonctionnement.
La victoire de la gauche aux élections de 1988 conduit à la tête de l'Opéra un ami du président réélu, Pierre Bergé, qui va diriger de facto l'Opéra à partir de sa position de président de son conseil d'administration, tout en laissant les tâches administratives à une direction à géométrie variable. Il organise notamment les cérémonies d'ouverture du nouvel Opéra de la place de la Bastille, tout en préparant la fermeture pour travaux de l'Opéra Garnier (1993-1996). Sa programmation fastueuse, qui donne aux metteurs en scène des moyens inédits pour réaliser leurs idées, souffre rapidement des déficiences techniques du nouvel outil et d'un nombre de représentations insuffisant. La décision de consacrer l'Opéra Garnier de manière presque exclusive à la danse, tandis que presque tout le répertoire lyrique est joué à Bastille, pose également des problèmes d'identité importants dans les deux maisons.
Le 16 juillet 1992, lors d'une tournée de l'Opéra à Séville, un élément de décor tombe sur plusieurs choristes, faisant un mort et de nombreux blessés. Cet incident provoque une crise interne grave dans la direction de l'Opéra, qui voit plusieurs responsables de premier plan quitter la maison et la position de Pierre Bergé profondément entamée.
Les élections de 1993, favorables cette fois à la droite, et le nécessaire changement de statut de l'Opéra amènent le départ de Pierre Bergé, qui reste président d'honneur. Décidé en novembre 1993 et effectif au 3 février 1994, ce départ amène la nomination de Jean-Paul Cluzel comme président par intérim et celle d'Hugues Gall comme directeur délégué, chargé de préparer son arrivée au poste de directeur prévu à compter d'août 1995.
Pendant cette période de transition, un décret du 5 février 1994 fixe les nouveaux statuts de l'établissement, qui prend son nom actuel d'Opéra National de Paris.
C'est au directeur du Grand Théâtre de Genève, ancien collaborateur de Rolf Liebermann à l'Opéra, qu'est confiée en 1993 la mission de réformer l'Opéra pour en stabiliser le fonctionnement. Après avoir réalisé un rapport d'information où il pointait les dysfonctionnements de la période précédente, en particulier la mauvaise utilisation de l'Opéra-Bastille, qui limitait fortement les possibilités d'alternance, celui-ci pose plusieurs conditions pour accepter le poste : il obtient ainsi l'assurance d'une augmentation de 3 % de la subvention publique pendant chaque année de son mandat et fixe la date de son entrée en fonction au début de la saison 1995/1996, laissant la gestion de l'Opéra pour les saisons 1993/1994 et 1994/1995 à une nouvelle direction provisoire. Un incident très médiatisé est le renvoi du directeur musical choisi par Pierre Bergé, le Coréen Myung-Whun Chung, accusé par Hugues Gall de mal connaître le répertoire lyrique et de demander des émoluments trop élevés. À sa place, Hugues Gall choisit le chef américain James Conlon, peu connu du grand public bien qu'ayant souvent dirigé à l'Opéra dans les années 1980.
Son mandat vise entièrement à constituer un répertoire viable de productions solides susceptibles d'être régulièrement reprises. Il s'appuie pour cela sur un nombre limité de metteurs en scène d'expérience comme Francesca Zambello, Robert Carsen ou Andrei Serban, au risque de se voir parfois accuser de préférer une production industrielle de spectacles sans âme à la prise de risque artistique.
Son mandat est également marqué par des grèves répétées, en particulier en novembre-décembre 2000. Ces grèves sont dues notamment aux réformes de Hugues Gall en ce qui concerne le statut des personnels, destinées à mettre fin à certaines lourdeurs administratives héritées du passé et perçues par une partie du personnel comme une atteinte à leurs droits sociaux. Dans le livre-souvenir publié en 2004 à la fin de son mandat, Gall accuse les syndicats de l'établissement, qu'il présente comme la principale source de difficultés de son mandat, d'être restés staliniens.
Parmi les principales réussites artistiques de son mandat figurent notamment la nouvelle production de Nabucco de Verdi donnée en ouverture de sa première saison (mise en scène Robert Carsen, avec Julia Varady, Samuel Ramey, Violeta Urmana, Jean-Philippe Lafont et José Cura), une nouvelle production d’Alcina de Haendel en 1999 (mise en scène Robert Carsen, avec Renée Fleming, Natalie Dessay et Susan Graham) ou celle de Platée de Rameau (mise en scène Laurent Pelly). Quelques échecs marquants jalonnent aussi son mandat, comme celui du Tristan und Isolde de Wagner mis en scène par Stein Winge, de l’Idomeneo de Mozart mis en scène par le chef d'orchestre Ivan Fischer ou la création mondiale de L'espace dernier de Matthias Pintscher. La critique très négative parue dans Le Monde sur Idomeneo suscite une vive réaction d'Hugues Gall, qui accuse le journal de s'en prendre systématiquement à l'Opéra et décide de ne plus faire de publicité dans ce journal.
Nommé initialement pour un mandat de 6 ans à compter d'août 1995, Hugues Gall est maintenu en fonction pour trois ans supplémentaires, soit jusqu'en août 2004 (de façon dérogatoire au statut d'EPIC de l'Opéra, qui impose une limite d'âge de 65 ans pour les directeurs, âge atteint par Hugues Gall en mars). Pour lui succéder, l'État nomme un autre ancien collaborateur de Rolf Liebermann, le Belge Gerard Mortier, pour lui succéder à compter de la saison 2004/20052. Août 2004 marque aussi la fin du mandat du directeur musical James Conlon.
Revendiquant une rupture forte avec son prédécesseur, Gerard Mortier axe sa politique sur les principes suivants :
Parmi les metteurs en scène les plus marquants de ces années figurent notamment des metteurs en scène novateurs qui suscitent une vive opposition d'une partie du public :
D'autres metteurs en scène aux conceptions plus traditionnelles figurent aussi au programme de l'Opéra pendant cette période, comme Laurent Pelly, Gilbert Deflo ou André Engel.
Nommé à l'origine pour un mandat de 4 ans en raison du statut des EPIC, qui lui interdisent de rester directeur au-delà de ses 65 ans (novembre 2008), il est maintenu en poste par dérogation une saison supplémentaire, comme l'avait été Hugues Gall, en particulier en raison du retard pris par le ministère de la Culture pour nommer son successeur.
En décembre 20063, c'est Nicolas Joel, directeur du Capitole de Toulouse depuis 1990 et metteur en scène, qui est nommé directeur délégué de l'Opéra4 et chargé de préparer les saisons de l'Opéra de Paris à compter de la saison 2009/20105. Il choisit de conserver à ses côtés la directrice de la danse Brigitte Lefèvre. Il nomme en revanche Philippe Jordan directeur musical et Patrick Marie Aubert chef du chœur.
Nicolas Joel choisit d'ouvrir sa première saison par Mireille de Charles Gounod, marquant ainsi son attachement au répertoire français. Il en assure également la mise en scène6. La saison 2010-2011 est marquée par l'absence du répertoire français tandis que celle de 2011/2012 n'affiche aucune rareté significative. Plusieurs nouvelles productions de l'ère Joel sont marquées par des critiques très négatives, voire une contestation de la part d'une partie du public : c'est le cas notamment pour Faust de Gounod mis en scène par Jean-Louis Martinelli, Manon de Massenet par Coline Serreau, marquée en outre par une mésentente entre la soprano Natalie Dessay et la metteuse en scène, et Carmen de Bizet par Yves Beaunesne7. La saison 2012/2013 ne comporte que deux nouvelles productions.
Le 8 octobre 2012, la ministre de la culture Aurélie Filipetti, qui avait précédemment annoncé ne pas vouloir prolonger le mandat de Nicolas Joel, nomme Stéphane Lissner directeur délégué de l'Opéra de Paris. Il est donc le successeur désigné de Nicolas Joel, chargé de la programmation à compter du début de la saison 2015/2016. Cette nomination fait suite à une intense campagne de Joel pour obtenir sa reconduction, précédée de son retrait in extremis sous prétexte de coupes budgétaires8. Son retrait est cependant anticipé : la presse annonce le 10 septembre 2013 que la passation de pouvoir aura lieu à la fin de la saison 2013/2014, Stéphane Lissner pouvant à cette date quitter la direction de la Scala.
L'arrivée de Lissner coïncide ainsi avec celle du nouveau directeur de la danse, le chorégraphe Benjamin Millepied, qui succède à Brigitte Lefèvre. Tous deux devront cependant exécuter une première saison programmée par leurs prédécesseurs. Stéphane Lissner choisit en revanche de maintenir Philippe Jordan à son poste.
La tradition retient quinze salles distinctes utilisées par l'Opéra de Paris pour ses spectacles. Cette liste ne comprend que les salles ordinaires du théâtre, abstraction faite de celles qui ont pu être utilisées pour des représentations à l'extérieur. L'Académie royale de musique changera treize fois de lieux de représentations au cours du XVIIIe siècle, jusqu'à sa transformation, à la Révolution, en « Théâtre des Arts », avant de prendre le nom actuel d'Opéra national de Paris. En 1875, l'institution occupe le Palais Garnier puis en 1990 l'Opéra-Bastille.
Nom de l'institution |
Nom de la salle |
Dates |
Emplacement |
Historique |
– |
Salle d'Issy |
1659 |
Issy-les-Moulineaux |
Démolie. |
Académie d'opéra |
Salle de la Bouteille |
1671-1672 |
Rue Mazarine |
Démolie. |
Académie royale de musique |
Salle du Bel-Air |
1672-1673 |
Rue de Vaugirard |
Démolie. |
Académie royale de musique |
Première salle du Palais-Royal |
1673-1763 |
Palais-Royal |
Détruite par un incendie le 6 avril 1763 |
Académie royale de musique |
Salle des Machines |
1764-1770 |
Palais des Tuileries |
Construite en 1662 mais remaniée à plusieurs reprises. |
Académie royale de musique |
Deuxième salle du Palais-Royal |
1770-1781 |
Palais-Royal |
Inaugurée le 26 janvier 1770. Détruite par un incendie le 8 juin 1781 |
Académie royale de musique |
Salle des Menus-Plaisirs |
1781 |
Rue Bergère |
Démolie. |
Académie royale de musique (1781) |
Salle de la Porte-Saint-Martin |
1781-1794 |
Boulevard Saint-Martin |
Construite en 75 jours en 1781. Ouverture le 27 octobre 1781. |
Théâtre des Arts (1794) |
Théâtre-National |
1794-1820 |
Rue de Richelieu |
Construite en 1793. Détruite sur ordre des autorités. |
Académie royale de musique |
Théâtre Louvois |
1820 |
Rue Louvois |
Construite en 1791. Fermée en 1825, démolie en 18999. |
Académie royale de musique |
Salle Favart |
1820-1821 |
Place Boieldieu |
Construite en 1783. Détruite en 1839 par un incendie |
Académie royale de musique (1821) |
Salle Le Peletier |
1821-1873 |
Rue Le Peletier et |
Construite en 1821-1821 (1800 places) |
Théâtre national de l'Opéra |
Salle Ventadour |
1874 |
Rue Méhul |
Construite de 1826 à 1829. Fermée en 1879 |
Théâtre national de l'Opéra (1875) |
Opéra Garnier |
depuis 1875 |
Place de l'Opéra |
29 septembre 1860 : déclaration d'utilité publique |
Association des Théâtres de l'Opéra de Paris (1989) |
Opéra Garnier |
– |
Place de l'Opéra |
1993-1996 : Fermeture pour travaux |
Opéra Bastille |
depuis 1990 |
Place de la Bastille |
1982 : décision du président François Mitterrand |
Emplacement de la salle du Jeu de paume de la Bouteille (Académie d'opéra 1671-1672)
Le Jeu de Paume de Bel-Air (Académie royale de musique 1672-1673)
Deuxième salle du Palais-Royal (Académie royale de musique 1770-1781)
Incendie de la deuxième salle du Palais-Royal (1781)
Théâtre de la Porte-Saint-Martin vers 1790 (Académie royale de musique)
Grande salle du Théâtre des Arts de la Rue de Richelieu (vers 1794)
Théâtre de l'Opéra de la Rue de Richelieu (1794-1820)
Salle Favart en 1820 (Académie royale de musique), par Christophe Civeton
Salle Le Peletier vers 1865 (Théâtre impérial de l'Opéra)
Incendie de la Salle Le Peletier en 1873
La Salle Ventadour (v. 1830) qui accueillit le Théâtre national de l'Opéra en 1874 dans l'attente de la construction de Garnier
Opéra Garnier en 1875 (Théâtre national de l'Opéra)
Opéra Garnier en 2009 (Opéra national de Paris)
opéra Bastille en 2011 (Opéra national de Paris)
Opéra de Paris en 2011
|
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Nom de l'institution |
Années |
Administrateurs |
Directeurs musicaux |
Directeurs de la danse |
Académie d'opéra |
1669 |
Pierre Perrin |
Robert Cambert |
Pierre Beauchamp |
Académie royale de musique |
1672 |
Jean-Baptiste Lully |
Jean-François de Lallouette et Pascal Colasse |
|
1687 |
Jean-Nicolas de Francine |
Louis Pécour | ||
1698 |
Jean-Nicolas de Francine et Hyacinthe de Gaureault |
|||
1704 |
Pierre Guyenet |
|||
1712 |
Jean-Nicolas de Francine et Dumont |
|||
1728 |
André-Cardinal Destouches |
|||
1729 |
Michel Blondy | |||
1730 |
Maximilien-Claude Gruer |
|||
1731 |
Claude Lecomte |
|||
1733 |
Eugène de Thuret |
|||
1739 |
Antoine Bandieri de Laval | |||
1744 |
François Berger |
|||
1748 |
Joseph Guénot de Tréfontaine |
Jean-Barthélemy Lany | ||
1749 |
Ville de Paris |
(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1752) | ||
1753 |
François Rebel et François Francœur |
|||
1754 |
Joseph Nicolas Pancrace Royer |
(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1754) | ||
1755 |
Louis Dominique Bontemps et Levasseur |
(voir aussi : Troupe de l'Opéra de Paris en 1755) | ||
1757 |
François Rebel et François Francœur |
|||
1767 |
Pierre Montan Berton et Jean-Claude Trial |
|||
1769 |
Antoine Dauvergne et Nicolas-René Joliveau |
|||
1770 |
Gaëtan Vestris | |||
1773 |
François Rebel |
|||
1775 |
Pierre Montan Berton |
|||
1776 |
Jean-Georges Noverre | |||
1777 |
Anne-Pierre-Jacques Devismes |
|||
1780 |
Pierre Montan Berton |
|||
1781 |
Gardel et Dauberval | |||
1787 |
Comité gestionnaire |
Pierre Gardel | ||
1790 |
Commissaire de la Ville |
|||
Théâtre de l'Opéra |
1791 |
|||
1792 |
Francœur et Jacques Cellerier |
|||
Théâtre des Arts |
1793 |
|||
1796 |
Évariste de Parny |
|||
Théâtre de la République et des Arts |
1797 |
Commissaire de la Ville |
||
1799 |
Anne-Pierre-Jacques Devismes et |
|||
1800 |
Anne-Pierre-Jacques Devismes |
|||
1801 |
Jacques Cellerier |
|||
Théâtre de l'Opéra |
1802 |
Étienne Morel de Chédeville |
||
Académie impériale de musique |
1804 |
|||
1807 |
Louis-Benoît Picard |
|||
Académie royale de musique |
1814 |
|||
Académie impériale de musique |
1815 |
|||
Académie royale de musique |
1816 |
Alexandre-Étienne Choron |
||
1817 |
Louis-Luc Loiseau de Persuis |
|||
1819 |
Giovanni Battista Viotti |
|||
1820 |
Jean-Pierre Aumer | |||
1821 |
François-Antoine Habeneck |
|||
1824 |
Raphaël de Frédot Duplantys |
|||
1827 |
Émile-Timothée Lubbert |
|||
1831 |
Louis Véron |
Jean Coralli | ||
1835 |
Henri Duponchel |
|||
1839 |
Henri Duponchel et Édouard Monnais |
|||
1841 |
Henri Duponchel et Léon Pillet |
|||
1847 |
Henri Duponchel et Nestor Roqueplan |
|||
Théâtre de la Nation |
1848 |
|||
Opéra-Théâtre de la Nation |
1849 |
Nestor Roqueplan |
||
Académie nationale de musique |
1850 |
Arthur Saint-Léon | ||
Académie impériale de musique |
1851 |
|||
1852 |
Joseph Mazilier | |||
Théâtre impérial de l'Opéra |
1854 |
François-Louis Crosnier |
||
1856 |
Alphonse Royer |
|||
1860 |
Lucien Petipa | |||
1862 |
Émile Perrin |
|||
1868 |
Henri Justamant | |||
1869 |
Louis Mérante | |||
1870 |
Société des Artistes |
|||
Théâtre national de l'Opéra |
1871 |
Olivier Halanzier |
||
1879 |
Auguste-Emmanuel Vaucorbeil |
|||
1884 |
Ritt |
|||
1888 |
Joseph Hansen | |||
1892 |
Eugène Bertrand |
|||
1893 |
Eugène Bertrand et Pierre Gailhard |
|||
1908 |
André Messager et Leimistin Broussan |
Léo Staats | ||
1911 |
Ivan Clustine | |||
1915 |
Jacques Rouché |
|||
1919 |
Léo Staats | |||
Réunion des théâtres
lyriques nationaux (RTLN) |
1939 |
Serge Lifar | ||
1945 |
Maurice Lehmann, administrateur de la RTLN |
|||
1946 |
Georges Hirsch |
|||
1951 |
Maurice Lehmann |
|||
1955 |
Jacques Ibert |
|||
1956 |
Georges Hirsch |
|||
1958 |
George Skibine | |||
1959 |
A.-M. Julien |
Gérard Mulys | ||
1962 |
Georges Auric |
Michel Descombey | ||
1968 |
André Chabaud |
|||
1969 |
René Nicoly |
John Taras | ||
1970 |
Claude Bessy | |||
1971 |
Jean-Yves Daniel-Lesur et Bernard Lefort |
Raymond Franchetti | ||
1973 |
Rolf Liebermann et Gérard Mulys |
|||
1977 |
Violette Verdy | |||
Théâtre national de l'Opéra de Paris |
1978 |
|||
1980 |
Bernard Lefort |
Rosella Hightower | ||
1983 |
Massimo Bogianckino |
Rudolf Noureev | ||
1986 |
Jean-Louis Martinoty |
Lothar Zagrosek |
||
Association des Théâtres de l'Opéra de Paris |
1989 |
Georges-François Hirsch |
Patrick Dupond | |
Opéra de Paris |
1990 |
|||
1991 |
Philippe Bélaval |
|||
1992 |
Jean-Paul Cluzel |
|||
Opéra national de Paris |
1994 |
|||
1995 |
Hugues Gall |
James Conlon |
Brigitte Lefèvre | |
2004 |
Gerard Mortier |
Pas de directeur musical |
||
2009 |
Nicolas Joel |
Philippe Jordan |